Alors que les missions des agences de l’eau s’étoffent chaque année et sont cruciales face aux enjeux climatiques, non seulement pour l’eau, mais aussi pour la biodiversité, des ponctions sur leurs ressources sont pratiquées depuis 2018. Au-delà de 2,1 milliards d’euros, leurs recettes sont reversées au budget général de l’Etat. C’est le fameux « plafond mordant ». En outre, avec 12 milliards d’euros, le 11e programme d’intervention (2019-2024) est en recul de 1 milliard d’euros par rapport au précédent.
Interrogée à plusieurs reprises sur ce sujet, lors d’une audition au Sénat, ce mardi 25 janvier, Bérangère Abba, secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité, n’a pas remis en question ce plafond mordant. « Nous avons besoin de maîtriser la pression fiscale sur les ménages, tout en ...
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